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Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fous, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.
Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
À trop vouloir te regarder,
J'en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
C'est ton sourire qui me l'a dicté.
Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté
Où le soleil se lève
Et si malgré ça j'arrive à t'oublier
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets.
Mais puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fous, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.
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[Refrain] :
Cécilia, ton lit est trop dur
Pourtant on y fait de beaux rêves
Oh Cécilia, ton vin est trop doux
Mais j'aime son goût sur tes lèvres
Cécilia, quand on a vingt ans
On a tout le temps d'être fidèle
Oh Cécilia, si tu ne l'es pas
Je ne t'en veux pas pour autant
Tu es belle et dans ton sixième
Quand on s'aime c'est le septième ciel
Et tant pis si quelques fois
Les fleurs que tu reçois sont d'un autre que moi
[Refrain]
Tu es belle, tu as vingt ans
Et tu m'aimes pour passer le temps
Et le temps passe et la saison
Viendra où j'aurai seul la clé de ta maison
[Refrain]
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A toi
A la façon que tu as d'être belle
A la façon que tu as d'être à moi
A tes mots tendres un peu artificiels
Quelquefois
A toi
A la petite fille que tu étais
A celle que tu es encore souvent
A ton passé, à tes secrets
A tes anciens princes charmants
A la vie, à l'amour
A nos nuits, à nos jours
A l'éternel retour de la chance
A l'enfant qui viendra
Qui nous ressemblera
Qui sera à la fois toi et moi
A moi
A la folie dont tu es la raison
A mes colères sans savoir pourquoi
A mes silences et à mes trahisons
Quelquefois
A moi
Au temps que j'ai passé à te chercher
Aux qualités dont tu te moques bien
Aux défauts que je t'ai caché
A mes idées de baladin
[Refrain] :
A la vie, à l'amour
A nos nuits, à nos jours
A l'éternel retour de la chance
A l'enfant qui viendra
Qui nous ressemblera
Qui sera à la fois toi et moi
A nous
Aux souvenirs que nous allons nous faire
A l'avenir et au présent surtout
A la santé de cette vieille terre
Qui s'en fout
A nous
A nos espoirs et à nos illusions
A notre prochain premier rendez-vous
A la santé de ces milliers d'amoureux
Qui sont comme nous.
[Refrain]
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Elle a des yeux qui voient la mer
A travers la pluie qui descend
Elle fait des reves ou elle se perd
Entre les grands nuages blancs
Elle ne sait plus le jour ni l'heure
Elle a des larmes au fond du coeur
Qui lui font peur
Oh ! mon amour ecoute-moi
Deja la vie t'attends la-bas
Non n'ai pas peur il faut me croire
La vie est belle meme sans memoire
Tu sais je te raconterai
Avec le temps tu comprendras
Elle n'entend pas ce que je dis
Et sa main dans ma main s'endort
Je voudrais etre ce pays
Ou elle s'en va chercher encore
Dans le miroir de son passe
Ce reve qui s'etait brise
Un soir d'ete
Oh ! mon amour ecoute-moi
Un autre monde t'attend la-bas
Non n'ai pas peur il faut me croire
La vie est belle et notre histoire
Peut continuer quand tu voudras
Et tout sera comme autrefois
Oh ! mon amour ouvre ton coeur
Tu m'entendras
Pardonne le mal que je t'ai fait
Je ne te quitterai plus jamais
Oui mais demain dans mes cheveux
Je vois des soleils dans tes yeux
Oh ! mon amour
Une autre vie t'attend la-bas
Je t'aime tant il faut me croire
Le monde est beau et notre histoire
Peut continuer quand tu voudras
Et tout sera..
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J'avais dessiné sur le sable
Son doux visage qui me souriait
Puis il a plu sur cette plage
Dans cet orage, elle a disparu
Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine
Je me suis assis au près de son âme
Mais la belle dame s'était enfuie
Je l'ai cherchée sans plus y croire
Et sans un espoir, pour me guider
Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine
Je n'ai gardé que ce doux visage
Comme une épave sur le sable mouillé
Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine
Et j'ai crié, crié, Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré, oh! j'avais trop de peine...