•  

    L'ombre étend son manteau
    Et ton corps est déjà bien plus chaud
    Et je vois dans tes yeux
    Une larme, un aveu

    Mais dans la lumière
    Tes yeux crient bien plus fort, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime
    Mais dans la lumière
    C'est une arène d'homme ou je me bats au corps à corps
    Mais dans la lumière
    Tes yeux crient, je t'adore, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime
    Mais dans la lumière
    C'est une eau bleue qui dort ou je me baigne encore

    La nuit revient bientôt
    Pour éteindre le feu de ma peau
    Et mon sang n'est plus fou
    Car tes yeux sont trop doux

    Mais dans la lumière
    Tes yeux crient bien plus fort, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime
    Mais dans la lumière
    C'est une arène d'homme ou je me bats au corps à corps
    Ou je me bats au corps à corps, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime
    Mais dans la lumière
    Tes yeux crient bien plus fort, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime
    Mais dans la lumière
    C'est une arène d'homme ou je me bats au corps à corps
    Mais dans la lumière
    Tes yeux crient bien plus fort, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime
    Mais dans la lumière


  • A corps perdu, je t'ai demandé
    De venir avec moi danser, danser
    Le temps de te toucher les mains
    Et déjà tout mon cœur prenait le tien
    A corps perdu je t'ai cherché
    A corps perdu je vais t'aimer

    Ce soir ta robe colle à ma peau
    Et tes doigts courent, le long de mon dos
    Ta bouche se ferme et chantonne
    Des mots d'amour, entre tes dents
    A corps perdu je t'ai trouvé
    A corps perdu je vais t'aimer

    A corps perdu ton cœur est tombé
    Dans le silence de mes baisers
    Et maintenant je sais déjà
    Que pour toujours, tu es à moi
    A corps perdu je vais t'aimer
    A corps perdu je vais t'aimer
    A corps perdu
    A corps perdu je vais t'aimer

     


  • Laisse-moi t'aimer toute une nuit
    Laisse-moi toute une nuit
    Faire avec toi le plus long le plus beau voyage
    Oh who who who veux-tu le faire aussi

    Une hirondelle fait mon printemps
    Quand je te vois mon ciel devient plus grand
    Je prends ta main alors je sens que j'ai pour toi
    Oh who who who l'amour au bout des doigts

    La feuille qui grandit a besoin de lumière
    Et le poisson meurt sans l'eau de la rivière
    Aussi vrai que nos corps sont nés de la poussière
    Toi tu es mon soleil et mon eau vive laisse-moi t'aimer

    Rien qu'une nuit laisse-moi rien qu'une nuit
    Voir dans tes yeux le plus merveilleux paysage
    Oh who who who oh oui si tu le veux
    Laisse-moi t'aimer

    Laisse-moi t'aimer toute ma vie
    Laisse-moi laisse-moi t'aimer
    Faire avec toi le plus grand de tous les voyages
    Laisse-moi laisse-moi t'aimer t'aimer

    Woh oh oh oh..

     


  • Et mourir de plaisir {x3}

    Poser les mains sur un visage,
    Vouloir et ne pas oser
    Puis s'aventurer davantage
    Au risque de tout briser,
    Souffrir à force de s'étreindre
    Et se confondre dans la nuit,
    Souffrir sans gémir ou se plaindre
    Sans un cri

    Et mourir de plaisir {x2}

    S'étendre à demi-mort de peur,
    Se réchauffer par des mots,
    Des mots qui retiennent les heures
    Et sans trouver le repos,
    Souffrir à force de s'attendre
    Et tomber jusqu'à l'agonie,
    Souffrir encore plus et se rendre
    Dans un cri

    Et mourir de plaisir {x2}

    Et dormir {x4}

     


  • Terre brûlée au vent, des landes de pierres
    autour des lacs, c'est pour les vivants un peu d'enfer
    le Connemara
    Des nuages noirs
    qui viennent du nord colorent la terre
    les lacs, les rivières
    c'est le décor du Connemara

    Au printemps suivant, le ciel irlandais était en paix
    Maureen a plongé nue dans un lac du Connemara
    Sean Kelly s'est dit: "Je suis catholique, Maureen aussi!"
    L'église en granit de Limerick,
    Maureen a dit oui
    De Tipperary, Barry-Connely et de Galway
    ils sont arrivés dans le comté du Connemara
    Y'avait les Connors, les O'connelly,les Flaherty du Ring of Kerry
    et de quoi boire trois jours et deux nuits

    Là-bas au Connemara
    on sait tout le prix du silence
    là-bas au Connemara
    on dit que la vie, c'est une folie
    et que la folie, ça se danse

    Terre brulée au vent, des landes de pierres
    autour des lacs, c'est pour les vivants, un peu d'enfer
    le Connemara
    des nuages noirs
    qui viennent du nord
    colorent la terre, les lacs, les rivières
    c'est le décor du Connemara

    On y vit encore
    au temps de Gaëls et de Cromwell
    au rhytme des pluies et du soleil
    au pas des chevaux
    On y croit encore
    aux monstres des lacs, qu'on voit nager
    certains soirs d'été
    et replonger pour l'éternité
    On y voit encore
    des hommes d'ailleurs venus chercher
    le repos de l'âme et pour le coeur
    un goût de meilleur
    L'on y croit encore
    que le jour viendra, il est tout près
    ou les Irlandais feront la paix autour de la Croix

    Là-bas au Connemara
    on sait tout le prix de la guerre
    là-bas au Connemara
    on n'accepte pas
    la paix des Gallois
    ni celle des rois d'Angleterre

     





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